Kathy et ses histoires;le château part3 a
Chapitre 3
Elle me conduisit dans un salon, où pendait une balancelle en cuir
« Installe toi, les pieds dans les étriers et les mains dans les poignées. Tu restes comme ça 1/2h, normalement tu devrais te faire prendre et sucer une bonne dizaine de mecs. »
Le sexe ouvert, je n'attendis pas longtemps. Un homme de 50ans vint vers moi, vérifia mon sexe et me pénétra, et sans bouger il remua la balancelle, une main sur mes seins. Un autre posa sa queue sur ma tête et la guida dans ma bouche. Ils me quittèrent et 3 hommes apparurent , et firent une tournante, je n'en pouvais plus, il fallait que je jouisse. Â la fin de la 1/2h je sautai sur mes pieds, le sexe en feu,.
Vite une bite..
Je croisai Richard
« Viens me baiser vite il me faut ta queue »
Me poussant sur un canapé libre, il m'envoya au ciel en 5 mn
L'anniversaire avait commencé et une superbe blonde d'une cinquantaine d'années se faisait démonter sous des hurlements, Jérémy était à la manœuvre.Il la sodomisait à grands coups de reins.
J'allai me glisser dans le jacuzzi. Un couple en face de moi, la femme me sourit et ils traversèrent le bassin.
« Vous nous avez un superbe show , c'était trop érotique me dit elle
-Je vous ai beaucoup désirée me dit son compagnon
-Il fallait venir, lui dis je
-C'est ce que je lui ai dit, c'est un timide ajouta t elle en souriant. Votre cul est trop beau, vous aimez la sodomie.
-Pas trop une mauvaise expérience répondis je
-Vous ne voulez pas tenter de nouveau ?
-Si, mais il faut trouver un homme qui sait faire
-Lui me dit elle, il me fait jouir, je vais vous aider. Venez suivez nous »
On s'enferma dns un salon, à peine éclairé, un vaste lit nous attendait
L'homme avait une belle queue fine et longue.
« Mettez vous en levrette, me dit elle »
Et elle me prépara le cul avec sa langue .. Je m'occupais du sexe de son compagnon,léchant longuement ce membre dur et ce gland rouge de désir. Ses boules roulaient entre mes mains. Mon petit trou se dilatait sous les doigts de la femme qui forçaient tendrement mon orifice. Des frissons parcouraient mon bassin, et mon vagin palpitait. Étranges sensations, nouvelles et agréables.
«Couche toi sur le dos et remonte tes jambes en écartant tes cuisses. Vas y dit elle à son compagnon elle est prête ! »
Je sentis le gland sur la bord de mon anus.
« Pousse comme quand tu es aux toilettes, me dit elle »
Le gland fut happé par mon anus. L 'homme s’arrêta, une légère douleur qui disparut.
L'homme me pénétra lentement, et entra son sexe entièrement. Il stoppa son mouvement
La main de la femme me massait la vulve te le bouton.
Il fit des allers et retours glissant la verge à l'intérieur de mon cul. Je sentais le membre à travers la paroi de mon vagin. L'homme prit possession de mon ventre allant ni vite ni lentement, des mouvements réguliers, profonds, un frisson parcourut mon ventre, puis un autre et une explosion de vibrations envahit mon ventre. Je hurlai en mordant le drap. Ça ne voulait pas s’arrêter. L'homme continuait de me faire jouir. L ' homme me cloua sur le lit. Je hurlai,
« Encore, encore, encore »
L homme me pilonnait, puis je perdis connaissance.
Des caresses remirent mes idées en place
« Et ben dis donc, me dit la femme tu t'es prise un sacré orgasme, impressionnant
-Trop, trop géant, quel pied, ton compagnon est un artiste
-Oh oui, un spécialiste de l'anal. Ce que je te conseille maintenant c'est de ne plus en faire avant une ou deux heures. Et si tu veux recommencer reviens nous voir, il faut que tu t'habitues à jouir par le cul.On a la chambre 45 et tu viens quand tu désireras une nouvelle sodomie.
-Et toi, lui demandai je ?
-J'irai baisé ailleurs, je vous laisse tous les deux
-Vas voir Richard, il est bon, je vais te le présenter »
Nous rejoignirent le bar, une serviette nouée autour de nos corps
« J'ai le cul en feu, dis je à la femme
-C'est normal, ça passera, va aux douches, il y a un onguent à te mettre sur l 'anus et tu te masses le trou doucement, c'est de l huile d'amandes douces. »
Je filai aux douches et je massai longuement mon cul.avec l'huile, le feu disparaissait lentement Un homme se lavait en me regardant
…/...
à suivre